• « On accueille des gens au titre de l’Eglise, qui doit être comme un hôpital de campagne en charge d’accueillir les blessés de la vie, a rappelé le pape ». Pourtant, le père Gérard Riffard, curé du quartier de Montreynaud, est convoqué le 11 juin devant le tribunal de police de Saint-Etienne.

    Lire la suite:

    http://www.leprogres.fr/loire/2014/05/29/il-heberge-des-demandeurs-d-asile-un-cure-au-tribunal


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  • À Calais, depuis des semaines, quelques dizaines de réfugiés syriens sont maltraités, chassés de leurs abris de fortune et privés de toute protection de la part des pouvoirs publics. Certains ont même reçu une obligation à quitter le territoire français de la part de la préfecture. Lassés, épuisés, ils ont décidé de lancer un appel aux autorités françaises et anglaises.

    Le Secours Catholique et Médecins du Monde, dont les équipes sont présentes auprès de ces réfugiés syriens, au port de Calais, relayent cet appel et demandent au gouvernement de leur répondre concrètement dans les plus brefs délais.

    La façon dont ces réfugiés syriens sont traités par les autorités est indigne. Après les annonces, il faut désormais des actes concrets !

    SOURCE:

    http://pasdecalais.secours-catholique.org/Accueil-des-refugies-syriens-a,8309


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  • Hier vendredi, les exilés occupant le lieu de distribution des repas se mettaient d’accord sur leurs revendications et les faisaient parvenir au préfet et aux médias (voir ici). Au départ, le préfet considère que le délais de 48h heures qu’il leur avait laissé pour quitter les lieux est écoulé, et refuse tout dialogue. Puis, voyant qu’ils sont déterminés à rester rendez-vous est pris ce matin avec le directeur départemental de la cohésion sociale, bientôt rejoint par le sous-préfet. La proposition qui est faite aux exilés est qu’un second rendez-vous est prévu mardi prochain à condition que d’ici-là ils s’installent dans un autre endroit et quittent le lieu de distribution des repas. Il semble qu’une réunion soit prévue lundi matin au ministère de l’intérieur à propos de la situation des exilés à Calais, la rencontre de mardi sera donc conditionnée aux décisions prises lundi. La proposition de continuer le dialogue dans un autre lieues est assortie de menaces : si les exilés ne partent pas d’eux-mêmes du lieu de distribution des repas ce week-end, ils en seront expulsés par la force, arrêtés et renvoyés dans leur pays. Se pose bien entendu la question d’où aller, l’idée se glisse dans la conversation de l’ancien camping municipal. L’État est devant sa contradiction de demander aux gens de quitter un lieu pour s’installer dans un autre sans autorisation alors qu’il est forcément la propriété de quelqu’un. Le site de l’ancien camping est propriété de la ville de Calais.

    Lire la suite:

    http://passeursdhospitalites.wordpress.com/2014/06/01/letat-patauge-les-exiles-continuent-leur-lutte/


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  • I. Évolution du texte
    II. Chronologie des événements
    A. La « concertation nationale sur la réforme de l’asile »
    B. Le rapport au ministre de l’intérieur
    III. Dans la presse
    IV. Éléments de réflexion

    Lire le document complet :http://www.gisti.org/spip.php?article3030


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  • A l’heure où la crise du dispositif de l’asile (logement, OFPRA, financement) est diagnostiquée, justifiant selon ses initiateurs un vaste projet de réforme en cours d’élaboration, le laboratoire Thémis-UM et l’Association française des juges de l’asile organisent une conférence consacrée au traitement juridictionnel de la demande de protection internationale.

    Le juge de l’asile est en charge d’un contentieux hors du commun où la décision repose essentiellement sur une évaluation des faits et des craintes allégués par le demandeur de protection internationale. C’est donc sur la question de l’établissement d’éléments de crédibilité factuels – portant sur le militantisme politique, l’appartenance à une minorité ethnique ou religieuse vulnérable, les persécutions passée et les craintes de persécutions à venir etc… – que se noue le contentieux de l’asile. Au fondement d’une critique fréquemment adressée au juge de l’asile de rendre des décisions arbitraires, c’est-à-dire fondées sur une « intime conviction » qu’il aura librement forgée, cette caractéristique implique en toute hypothèse l’usage de méthodes juridictionnelles spécifiques.

    Ce sont ces éléments que les intervenants – universitaires et juges de l’asile – voudraient mettre en question lors de cette conférence. Les thèmes abordés, relatifs à la procédure applicable à la CNDA, à l’usage de la géopolitique, à l’appréciation de la crédibilité des récits et à la formation de l’intime conviction du juge permettront d’interroger les méthodes employées en pratique par le juge pour accorder, ou non, la protection sollicitée par l’étranger.

    Avec :
    Mathieu Touzeil-Divina, Professeur des Universités; Cyril Brami, Maître de conférences, Université du Maine; Claire Brice-Delajoux, Maître de conférences, Université Evry-Val d'Essonne; Alain Lercher, Président de section à la Cour nationale du droit d’asile; Hélène Raspail, Maître de conférences, Université du Maine, juge assesseur à la Cour nationale du droit d’asile; Pierre Bégault, Président de section à la Cour nationale du droit d’asile; Jean Matringe, Professeur des Universités, Université de Versailles Saint-Quentin; Emmanuel Aubin, Professeur des Universités, Université de Poitier; Joseph Krulic, Président de l'Association française des juges de l'asile

    SOURCE : http://www.univ-lemans.fr/fr/index.html


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  • Colloque organisé par l’OFPRA à l’Institut du monde arabe à l’occasion de la Journée mondiale des réfugiés

    23 juin 2014, de 9h à 17h
    Institut du monde arabe
    1 rue des Fossés-Saint-Bernard 75005 Paris
    Inscription souhaitée : communication@ofpra.gouv.fr

    Regards croisés de l’Ofpra, du HCR, de diplomates, de chercheurs, d’acteurs associatifs et de journalistes

    SOURCE & Programme :

    http://iremam.cnrs.fr/spip.php?article2395


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  • L’UE, ce n’est pas l’Europe.

    D’ailleurs, et par de nombreux aspects, l’UE a trahi la grande promesse européenne.

    *

    En 2005, les membres d’Asulon France ont appelé à voter « Non » au référendum sur le traité constitutionnel européen après avoir dénoncé la communautarisation des politiques de l’asile et des politiques migratoires entrainant un abaissement prévisible  des standards de protection en France. Nous n’avons pas été déçus.

    Malgré le NON au référendum, le contenu du Traité constitutionnel a été validé - vous le savez - par le Traité de Lisbonne adopté par le Congrès en violation du vote du peuple français.

    *

    Aujourd’hui, nous constatons que l’Asile français est abandonné au profit d’un asile communautarisé beaucoup moins protecteur.

    Ainsi, la France offre – avec une constance d’horloger – une protection à près de 10.000 personnes par an.

    Hier, l’essentiel de cette protection était conventionnelle (statut très protecteur découlant des dispositions de la Convention de Genève). Aujourd’hui, cette protection s’effectue - pour une part de plus en plus importante - par l’octroie d’une simple protection subsidiaire (protection beaucoup plus précaire imposée par le droit européen).

    En un mot, l’Europe UE protège moins que la France, et impose à celle-ci l’utilisation de standards moins protecteurs.

    Les politiques d’immigration sont tout autant catastrophiques.

    De plus en plus importants, les flux migratoires affolent l’UE qui tente en vain de stopper – via une agence Frontex à la mission inadaptée - le flux que par ailleurs elle a elle-même provoqué. Aujourd’hui, l’Europe UE assassine des dizaines de milliers d’africains qui se noient en Méditerranée.

    En effet, qui peut ignorer que les interventions militaires de l’UE-OTAN, en Libye, en zone subsaharienne, au Soudan, dans la corne de l’Afrique, en Syrie puis en Ukraine, alimentent aujourd’hui des flux de migrations de populations en déshérence par notre seule faute ?

    Et que dire des conditions économiques scandaleuses que nous imposons aux marchés de matières premières, aux marchés de produits agricoles, qui ruinent ces pays, leurs économies.

    *

    Cette fausse Europe n’a plus de parole. Cette fausse Europe n’est plus l’Europe.

    L’UE a bien trahi la grande promesse émancipatrice portée par l’Europe. Il faut le dire. Il faut le dénoncer !

    L’UE-OTAN, ce n’est plus l’EUROPE.

    Face à cette fausse élection pour un faux parlement par ailleurs sans pouvoir, ASULON FRANCE appelle à sanctionner ces institutions et ces politiques par un boycott magistral de ces élections.

    ASULON FRANCE


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  • VISITER le site officiel du MPEP !

    http://www.m-pep.org/spip.php?rubrique372


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  • French coast rescuers support a 23-year-old Afghan trying to cross the Channel on a makeshift raft using a bedsheet as a sail off Sangatte.

    The man, who had started developing hypothermia, 'was first disappointed and then glad at being rescued,' said Bernard Barron, the head of the coast rescue service in Calais

    Picture: SNSM CALAIS/AFP/Getty Images

    Le jeune migrant a été sauvé alors qu'il tentait une traversée de la Manche à bord d'un radeau de fortune. (PreMar Manche - mer du Nord )


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