• A Angers, bras de fer entre les pouvoirs publics et des soutiens aux réfugiés !

    Depuis bientôt un an, Angers vit au rythme d'un bras de fer entre un collectif non aligné de soutien à des squatteurs exilés et les pouvoirs publics, inquiets de voir gonfler les chiffres des demandeurs d'asile.

    Dernier épisode : jeudi 27 août, la préfecture de Maine-et-Loire faisait l'objet d'un référé liberté devant le tribunal administratif de Nantes de la part de deux familles kosovares et trois réfugiés érythréens. Le préfet a préféré négocier un arrangement en trouvant in extremis une solution de relogement. "Une porte ouverte aux autres", s'est réjoui le collectif.

    Les occupations sauvages ont commencé en novembre 2008 par une gendarmerie désaffectée en banlieue. Une intervention musclée des forces de l'ordre y avait mis fin en 48 heures. Depuis, le mouvement a "requis" successivement quatre immeubles relevant du patrimoine de la ville d'Angers. D'abord le "48", du numéro de rue le désignant, évacué sans ménagement en avril. Puis le 49-3, le 49-4, le 49-5... "Notre mouvement n'est ni anarchiste ni marxiste, mais politique quand même", appuie Pierre-Jean Bourdon, un des leaders, ancien militant CGT.

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/09/01/a-angers-bras-de-fer-entre-les-pouvoirs-publics-et-des-soutiens-aux-refugies_1234285_3224.html

     


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