• HCR/Unité des publications électroniques - Nombre de réfugiés pour 1 dollar de PIB/habitant (parité de pouvoir d'achat)

    Genève, 20 juin (HCR) – Le rapport statistique du HCR sur les tendances mondiales en 2010 publié aujourd'hui révèle un profond déséquilibre dans le soutien international accordé aux personnes déracinées dans le monde. En effet, les pays en développement accueillent les quatre cinquièmes des réfugiés, à une période où l'hostilité à l'égard des réfugiés s'accroît dans de nombreux pays industrialisés.

    Le rapport statistique du HCR sur les tendances mondiales en 2010 montre que de nombreux pays parmi les plus pauvres au monde abritent de vastes populations réfugiées, aussi bien en valeur absolue que par rapport à la taille de leur économie. Le Pakistan, la République islamique d'Iran et la République arabe syrienne comptent les plus fortes populations réfugiées avec respectivement 1,9 million, 1,07 million et 1,005 million.

    SOURCE :

    http://www.unhcr.fr/print/4dfbaed82.html


    votre commentaire

  • RGPP : Le Film Citoyen sur la réforme de l'Etat par Ma_Lucarne

    Jeudi 16 Juin : « Qu'est-ce que la RGPP ? » Luttes Citoyennes - Paris

    Collectif  des Associations Citoyennes

     « Qu'est-ce que la RGPP ? » 

    Jeudi 16 juin de 18 heures 30 à 21 heures 30

    1 rue Sainte Lucie 75015 paris

    Récit et le collectif des associations citoyennes organisent une soirée de formation/sensibilisation autour de la question : « qu'est-ce que la RGPP (révision générale des politiques publiques) ? Pour quelle motivation, sur quels critères s'est-elle construite, avec quels moyens, avec quels biais ? Peut-on concevoir une autre RGPP ?

    Cette formation sera assurée par Patrice WEISHEIMER (SEP/UNSA et intersyndicale Alsace) et animé par Didier Minot (RECIT et collectif des associations citoyennes).


    votre commentaire
  • La Commission Nord/Sud de la FASTI et l'ASTI de l'Est parisien vous invite à une rencontre-débat sur la Mauritanie le vendredi 18 février 2011 à 19h au 58 rue des amandiers dans le 20ème arrondissement de Paris (métro Père Lachaise, ligne 2 ou 3).


    votre commentaire
  • "PICUM's Main Concerns About the Fundamental Rights of Undocumented Migrants in Europe - 2010 "

    Les deux précédents rapports de PICum sur les Droits fondamentaux des sans-papiers en Europe: principaux sujets de préoccupation pour 2006 et 2008 mettaient en lumière les conflits entre les politiques adoptées en matière d'immigration irrégulière au cours de ces deux années et les droits fondamentaux des sans-papiers. L'externalisation du contrôle des frontières y figurait comme l'une des évolutions notables de la politique d'immigration. Elle concordait avec l'augmentation du nombre de décès signalés de migrants tentant de rejoindre l'Europe clandestinement. PICum appuyait ses observations sur un ensemble de rapports collectés à travers l'Europe, qui témoignaient de la réalité quotidienne pour les sans-papiers d'un accès limité aux soins de santé ainsi qu'aux droits sur leur lieu de travail. Les deux rapports évoquaient également la situation des enfants sans-papiers.

    LIRE LE RAPPORT :

    http://www.picum.org/sites/default/files/data/Publications/Annual%20Concerns%202010%20FR.pdf


    votre commentaire
  • Si certaines frontières tendent à s'effacer pour faciliter les circulations dans un espace mondialisé, d'autres se durcissent sous l'influence des rapports de pouvoir internationaux et de la perception des étrangers. Les frontières, définies jusqu'alors sur des critères géographiques et techniques, deviennent politiques, économiques, juridiques. Elles peuvent être à la fois fixes pour séparer et mouvantes, délocalisées, externalisées au gré des politiques migratoires des pays développés.

    Frontières militarisées, réinterprétées en fonction des « risques » migratoires, réactivées ou imposées pour satisfaire aux exigences des pays d'immigration, au mépris des accords internationaux ou des intérêts des pays de transit, elle deviennent autant d'obstacles sur les parcours des migrants et des exilés dont la légitimité, pourtant assise sur la Déclaration universelle des droits de l'homme, est déniée au prétexte de leur dangerosité supposée.

    Ont collaboré à ce numéro : Mogniss H. Abdallah, Véronique Baudet-Caille, Catherine Benoît, Emmanuel Blanchard, Pauline Boutron, Julien Brachet, Hélène Bretin, Violaine Carrère, Sara Casella-Colombeau, Olivier Clochard, Nathalie Ferré, Feriel Kachoukh, Danièle Lochak, Marie Martin, Antoine Pécoud, Claire Rodier, Serge Slama, Laurence Sinopoli, Alexis Spire.

    Source :

    http://www.gisti.org/spip.php?article2114


    votre commentaire
  • Une nouvelle collection : Penser l'immigration autrement.

    Fichage, murs, visas, camps, expulsions... tels sont aujourd'hui les principaux dispositifs appliqués à la lutte contre le « risque migratoire ». La politique d'immigration est toute entière submergée par une pensée policière négatrice des droits des individus, aveugle aux attentes et aux besoins des sociétés du Sud. Si les résistances s'organisent en dépit de la criminalisation de l'aide aux migrants en situation irrégulière, elles sont souvent peu audibles. On considère le plus souvent qu'elles ne dépassent pas le stade de l'aide humanitaire ou relèvent d'utopies incapables de rendre compte des enjeux du monde contemporain. Loin de ce simplisme pessimiste, la nouvelle collection du Gisti, Penser l'immigration autrement, souhaite rendre compte de ce foisonnement afin d'irriguer le débat public et de toucher toutes les personnes attachées aux droits fondamentaux et à l'impératif de solidarité

    Par son sujet, le premier ouvrage « Liberté de circulation : un droit, quelles politiques ? » est emblématique des objectifs de la collection : la liberté de circulation est en effet aux antipodes des référentiels gouvernementaux actuels, mais n'est pourtant plus une simple revendication de groupes militants isolés. Nombre de chercheurs et d'organisations internationales (UNESCO, PNUD...) appellent d'ailleurs à « lever les barrières » et à prendre acte des conséquences funestes des politiques actuelles.

    Dans un contexte économique fondé sur la circulation des marchandises, des capitaux et de l'information, la position qui vise à cantonner les êtres humains n'est pas viable. Elle ne pourra survivre ni aux coups de boutoirs de celles et ceux qui la combattent au risque de leur vie (les milliers de morts de la « guerre aux migrants » qui dure depuis deux décennies), ni à la prise de conscience que l'emmurement du monde est une fuite en avant.

    Les auteur·es réuni·es dans ce volume, qui croisent plusieurs disciplines, se rejoignent sur la nécessité de remettre au cœur de toute pensée et de toute politique l'article 13 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme : « Tout personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien ». Ces prémisses posées, leurs analyses, qui ont comme fils conducteurs l'impératif de non-discrimination entre les personnes et le refus de toute forme d'impérialisme, associent la critique des politiques actuelles à l'esquisse d'alternatives qui dépassent l'étroit cadre national. Loin des prédictions des Cassandre de la lutte contre l'immigration, se dessine un monde moins fracturé, plus solidaire, plus mobile dans lequel les droits fondamentaux seraient mieux préservés.

    SOURCE :

    http://www.gisti.org/spip.php?rubrique480


    votre commentaire
  • La mondialisation et la construction de l'Europe des Vingt-sept ont profondément fait évoluer le monde du travail et la place qu'y tiennent les étrangers. L'ouverture progressive des marchés de l'emploi, en dépit de politiques migratoires de plus en plus restrictives, ont modifié la nature même des migrations économiques. Dans un contexte de xénophobie rampante, l'archétype du « travailleur immigré » est implicitement vu comme le reliquat désuet, sinon condamnable, d'une époque révolue. On n'en est plus cependant à l'idée irréaliste d'une « immigration zéro ». Il semble que les pays d'accueil, faute d'avoir su affronter le problème de l'intégration des nouveaux arrivants et de leur descendance, aient désormais le souci d'organiser la précarité de la main-d'oeuvre non nationale en vue de l'empêcher de s'installer durablement.

    Des concepts sont ainsi apparus, pour légitimer ou pour rendre compte de ce nouvel enjeu : on parle aujourd'hui de « circulation migratoire », et de « migrations temporaires », tandis que les législations lient de plus en plus le droit au séjour à l'existence d'un emploi effectif. Le détachement de salariés ou les contrats saisonniers vont jusqu'à faire disparaître la figure même de l'immigré. Parallèlement, la présence persistante de sans-papiers, officiellement combattue, est tolérée pratiquement, non seulement au sein de secteurs à forte intensité de main-d'oeuvre, mais aussi dans des activités comme la prostitution ou les services domestiques.

    La nouvelle donne des politiques migratoires ouvre un espace pour des pratiques innovantes de la part de personnes ainsi davantage inscrites dans la mobilité. Les contributions à ce volume montrent comment, s'ancrant sur des espaces sélectionnés, les acteurs de la migration peuvent jouer sur plusieurs opportunités à l'échelle européenne et mettre en relation leurs régions d'origine et de passage ou de destination. Ce sont tous ces aspects, sur des registres alternativement social, économique, juridique et politique, qu'une quinzaine de chercheurs européens en sciences humaines s'attachent à rendre intelligibles à travers divers cas d'étude dans cet ouvrage.

    Swanie Potot est sociologue au CNRS et chercheure à l'Urmis (Unité de recherches « Migrations et société »). Ses travaux portent sur les nouveaux migrants et leur insertion économique en Europe occidentale. Elle a coordonné les programmes Migragri de l'Agence nationale de la recherche et Nouvelles dynamiques migratoires, soutenu par la Fondation européenne de la science, à l'origine de ce recueil. Elle a publié en 2007 un ouvrage intitulé Vivre à l'Est, travailler à l'Ouest. Les routes roumaines de l'Europe (Éditions L'Harmattan).

    Alain Morice est anthropologue au CNRS et chercheur à l'Urmis. Ses travaux portent notamment sur les formes non canoniques de mise au travail et sur les politiques migratoires. Il a coordonné en 2009, avec Bénédicte Michalon (CNRS), l'ouvrage Travailleurs étrangers dans l'agriculture européenne (Éditions de l'EHESS), en conclusion du programme Migragri.

    SOURCE :

    http://www.reseau-terra.eu/article1083.html


    votre commentaire
  • Cette lettre d'information traite des informations et des développements politiques sur les droits sociaux fondamentaux des sans-papiers en Europe.

    Le RAPPORT OCTOBRE 2010 :

    http://www.picum.org/sites/default/files/data/newsletters/fr/nl_fr_7-10-2010.pdf

    VOIR LE SITE OFFICIEL de PICUM

    http://www.picum.org/fr


    votre commentaire
  • Du 8 au 11 novembre 2010 se tiendra le quatrième Forum Mondial sur les Migrations et le Développement (FMMD) à Puerto Vallarta, Mexique. Cette réunion s'inscrit à la suite de celles de Bruxelles, Belgique (en 2007), de Manille, Philippines (2008) et d'Athènes, Grèce (2009).

    Le FMMD est un processus consultatif intergouvernemental ouvert à tous les États membres des Nations Unies. Le processus est volontaire, non contraignant, informel et mené par les États. Le FMMD est le seul forum intergouvernemental qui existe au niveau international, permettant de débattre des politiques et pratiques en matière de migration.

    Le Forum est une initiative qui a été lancée suite au Dialogue de Haut Niveau de l'Assemblée générale des Nations Unies, sur les Migrations Internationales et le Développement, qui s'est tenu en 2006. En 2013, l'Assemblée générale des Nations Unies organisera à nouveau un Dialogue de Haut Niveau afin de décider de l'avenir du Forum.

    SOURCE :

    http://www.gfmd.org/mexico-2010/index.php?lang=fr


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique