• L'évolution démographique des pays de l'Union européenne au sein d'un monde en mouvement est riche de conséquences sur sa place dans le monde. Beaucoup d'analystes " refusent de voir " le lien entre croissance économique et dynamisme démographique et ne cherchent donc pas à le vérifier. Pour compenser son déficit démographique, l'Union européenne va devoir ouvrir ses frontières à une forte immigration, pensée comme fruit d'un choix sélectif, et s'attacher à réussir l'intégration. Au cours de ces dernières années, l'Europe, qui peine à contrôler ses frontières, range l'immigration dans les questions sécuritaires et tente d'associer à cette tâche ses voisins du Sud, alors qu'elle est devenue l'une des plus grandes régions d'immigration du monde. Mais elle tarde à se reconnaître comme telle car elle a longtemps considéré l'immigration comme un phénomène provisoire et elle a ensuite donné la priorité à la sécurité sur les besoins de main d'œuvre et sur les impératifs d'inclusion sociale plutôt que de prendre en compte le vieillissement de sa population. La poursuite de l'arrivée clandestine de nouveaux arrivants est vécue comme une " invasion de pauvres " venant s'installer dans une Europe impuissante à protéger ses frontières. Tous les éléments parfois contradictoires qui lui sont posés par cette nouvelle donne (problème démographique, immigration nécessaire, intégration indispensable) nourrissent pourtant la conviction qu'il s'agit là d'un atout à saisir particulièrement important.

    Quels liens peut-on faire entre tendances démographiques, besoin d'immigration et nécessité de vivre ensemble ? Les démographes s'accordent pour constater que l'Europe est entrée dans une phase de vieillissement démographique qui va s'accroître avec l'arrivée à l'âge de la retraite des " baby boomers " à l'horizon 2010. Aussi, l'immigration est-elle considérée à la fois comme un facteur de croissance démographique de l'Europe à l'horizon 2030 et comme une réponse aux besoins de main d'œuvre, tant dans des secteurs ne pouvant pas être délocalisés à l'étranger que dans ceux qui affrontent la concurrence mondialisée où les profils d'immigrés les plus recherchés peuvent apporter un élément de dynamisme économique et de créativité dans une concurrence mondialisée pour le recrutement des plus compétents. Mais l'immigration est surtout vécue comme un traumatisme dans la plupart des pays européens. L'idée qu'il faut trouver des solutions pour vivre ensemble, de façon plus harmonieuse et dans le respect des droits de l'Homme, avec une population étrangère qui bouge mais qui peut s'installer est encore assez peu partagée. Comment résoudre cet ensemble de paradoxes ?

    Au moment de la présidence française de l'Union européenne, de la mise en œuvre du Pacte européen sur l'immigration et du lancement du projet d'Union pour <st1:PersonName productid="la Méditerranée" w:st="on">la Méditerranée</st1:PersonName>, il importe d'aller plus avant dans cet ensemble de questionnements liant démographie, immigration et intégration. Après avoir brossé un tableau des tendances démographiques de l'Union européenne (I), nous procéderons à une analyse des réponses européennes en termes de migrations (II), puis nous dresserons un bilan des expériences du " vivre ensemble " (III).

    http://www.robert-schuman.org/question_europe.php?num=qe-111


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  • Derrière les modifications apportées par Hortefeux aux conditions de la rétention administrative, se profile une mise au pas des associations et une «concurrence libérale déplacée» dénoncée par la Cimade.

     

    «Une atteinte majeure aux droits des étrangers et au rôle des associations.» Les dirigeants de la Cimade, seule association habilitée à accompagner les étrangers dans les différents centres de rétention administratives (CRA) depuis 1984, ne décolèrent pas. Et pour cause. Malgré deux entrevues place Beauvau les 22 et 24 septembre, ils n'ont pas réussi à convaincre Brice Hortefeux, le ministre de l'Immigration, de revenir sur sa décision : la Cimade n'aura plus le monopole des centres de rétention administrative.

    Tout a commencé cet été. Première surprise, le 22 août, un décret réforme le dispositif d'aide aux étrangers en situation illégale placés dans les centres et les locaux de rétention administratifs (LRA). Il introduit la possibilité qu'«une ou plusieurs personnes morales» y exercent des missions d'information et d'aide.

    Deuxième surprise, quelques jours plus tard : le 28 août est publié un l'appel d'offres relatif au marché public de la mission d'«information, en vue de l'exercice de leurs droits, des étrangers maintenus dans les centres de rétention administrative». «C'est un coup porté à la Cimade », déplore son secrétaire général Laurent Giovannoni.

     

    http://www.marianne2.fr/Les-sans-papiers,-un-nouveau-marche_a91562.html?PHPSESSID=f4669f241243240b806fa35e9ba7b355

     


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    « Rétention administrative : un décret qui réduit les droits des migrants et met en cause le rôle des associations »

     

    Par un décret du 23 août 2008 et la publication le 28 de l'appel d'offre relatif au marché public de la mission d'«information, en vue de l'exercice de leurs droits, des étrangers maintenus dans les centres de rétention administrative», le ministère de l'Immigration vient de modifier profondément les conditions d'exercice des droits des étrangers en rétention administrative.

    L'existence même d'une mission associative d'aide juridique en rétention, menée par <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Cimade" w:st="on">la Cimade</st1:PersonName> depuis 1984, est mise en cause. Le gouvernement poursuit une logique d'enfermement et de réduction des droits des migrants, de plus en plus traités comme des indésirables, il impose le silence à ceux qui les défendent et prive d'informations les citoyens qui pourraient s'en indigner.

    Avant d'envisager les réactions nécessaires avec ses partenaires, <st1:PersonName ProductID="la Cimade" w:st="on">la Cimade</st1:PersonName> attire l'attention et souhaite que chacun prenne conscience de la gravité pour les étrangers comme pour l'ensemble des citoyens de ces orientations plus qu'inquiétantes.

     

    http://www.cimade.org/nouvelles/1143-Retention-administrative---un-decret-qui-reduit-les-droits-des-migrants-et-met-en-cause-le-role-des-associations


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    « Hortefeux l'Africain » Par Christel de TADDEO, envoyée spéciale à Libreville, Malabo, Cotonou - Le Journal du Dimanche

     

    Cette semaine, Brice Hortefeux a mis le cap sur l'Afrique. Bénin, Gabon et Guinée équatoriale étaient au programme du ministre de l'Immigration et de l'Identité nationale. But de cette tournée sur le continent noir, expliquer la politique de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> en matière de flux migratoires, afin de préparer au mieux la prochaine conférence euro-africaine consacrée à ce brûlant sujet.

    Avant de descendre de l'avion, il a épinglé la décoration au revers de sa veste. "Ce sont des petits détails qui montrent qu'on ne les prend pas pour des ploucs", murmure Brice Hortefeux, fier commandeur de l'Ordre national du Bénin. Le ministre français de l'Immigration termine sa tournée africaine à Cotonou, où on l'appelle "Excellence". "La dernière fois, on m'attendait à l'aéroport avec une banderole: 'Bienvenue à notre bienfaiteur!'" Il faut dire que, "chaque fois qu'il vient, il apporte des moments sucrés", dit Yayi Boni, le président béninois. Cette fois, c'est une aide de l'Agence française de développement pour l'électrification rurale, soit 7,8 millions d'euros. Plus 2,8 millions d'euros pour la santé. "La nation vous donne son coeur", déclame Boni, qui appelle désormais Hortefeux "mon compatriote". Il lui a commandé un passeport béninois. "Comme un trait d'union. »

    Voici Hortefeux l'Africain. Il ne compte plus ses voyages sur le continent. Sa mission: expliquer les politiques française et européenne en matière d'immigration et chercher des soutiens avant la conférence ministérielle euro-africaine, qui se tiendra à Paris en novembre. Sa méthode: "Le contact personnel." Et la stratégie des dominos. Cinq chefs d'Etat ont déjà signé un accord sur la "gestion concertée des flux migratoires". D'autres devraient se rallier début octobre, quand Hortefeux visitera le Mali, le Burkina Faso et le Niger. Cette semaine, outre le Bénin, le Gabon et <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Guinée">la Guinée</st1:PersonName> équatoriale sont au programme.

     

    http://www.lejdd.fr/cmc//international/200838/hortefeux-l-africain-_150501.html

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

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    Les Etats du Maghreb contribuent activement à l'édification de la « Citadelle-Europe », dont les contours austères ont été ébauchés par le « Pacte européen pour l'immigration et le droit d'asile », adopté à Cannes le 7 juillet dernier par les ministres de l'Intérieur et de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Justice">la Justice</st1:PersonName> de l'UE.

     

    Le 2 juillet 2008, pendant qu'en Europe les polémiques sur ce « pacte » faisaient rage, le Journal officiel de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName> algérienne publiait une loi (la loi du 25 juin 2008) durcissant les « conditions d'entrée, de circulation et de séjour des étrangers » en Algérie. Ce texte, qui a abrogé une ordonnance, bien plus libérale, datant du 22 juillet 1966, n'a pas pour unique objet la « lutte contre l'immigration illégale ». La limitation des flux migratoires (notamment ceux subsahariens) n'en paraît pas moins être le principal objectif.

    La porte d'entrée de l'Europe est bien gardée.

    Cette loi du 25 juin 2008 autorise les services consulaires et les services de sécurité à prendre les empreintes digitales des ressortissants étrangers et à les photographier, de même qu'elle les autorise à mémoriser ces empreintes et photographies et à les utiliser (article 15). Elle crée des « centres d'attente, destinés à l'hébergement des ressortissants étrangers en situation irrégulière, en attendant leur reconduite aux frontières ou leur transfert dans leurs pays d'origine » (article 37). Les étrangers détenus dans ces centres peuvent y être gardés pendant une période de 30 jours renouvelable.

     

    http://www.lesafriques.com/actualite/sombre-avenir-pour-les-immigres-africains-en-algerie-et-en.html?Itemid=89?articleid=9418


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    La "directive de la honte" a été la cible principale du 3e Forum social mondial des migrations (FSMM) qui s'est conclu, dimanche 14 septembre à Madrid, par une manifestation "pour un monde sans murs", rassemblant près de 5 000 personnes dans le centre de la capitale espagnole.

    La directive récemment adoptée par l'Union européenne (UE) sur le retour des étrangers en situation irrégulière allonge à dix-huit mois la durée possible de rétention et interdit aux expulsés de revenir en Europe avant cinq ans. Elle constitue "une escalade dans la criminalisation des migrants", a estimé le rapporteur spécial des Nations unies pour les droits des migrants, le Mexicain Jorge Bustamante, en ouverture des trois jours de débats qui ont réuni plus de 2 000 délégués de 90 pays, à Rivas Vaciamadrid, dans la banlieue madrilène.

    Aux yeux des participants à ces rencontres, qui sont une émanation du Forum social mondial lancé en 2001 à Porto Alegre (Brésil), la norme dite "retour" est un mur, au même titre que celui que les Etats-Unis érigent physiquement à la frontière mexicaine.

    "Faire des immigrants les boucs émissaires de la crise économique est typique d'une mentalité raciste qui les considère indésirables mais nécessaires et qui préfère qu'ils soient vulnérables pour mieux les exploiter", a proclamé le Brésilien Luiz Baseggio, porte-parole du comité international du FSMM.

    Exhortant l'Europe à "retrouver sa vocation à travailler à une intégration mondiale", la motion finale du Forum réclame le retrait de la directive, ainsi que la ratification par les pays européens de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Convention" w:st="on">la Convention</st1:PersonName> de l'ONU sur les droits des migrants. Ce texte a été adopté en 1990, mais aucun Etat de l'UE ne l'a encore signé. Parmi les revendications de la "déclaration de Rivas" figure aussi "la mise en place d'un mandat ou d'un instrument spécial au sein de l'ONU pour remplir les vides existants dans la protection des migrants".

     

    http://www.lemonde.fr/europe/article/2008/09/15/la-politique-migratoire-de-l-ue-au-banc-des-accuses-a-madrid_1095299_3214.html#ens_id=1093704


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    Quelque 7 millions de citoyens européens ont les yeux tournés vers Bruxelles, où se tient, mardi 16 septembre, le premier sommet sur les Roms organisé par <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Commission" w:st="on">la Commission</st1:PersonName> européenne. Au-delà de la prise de conscience de l'exclusion sociale et de la discrimination dont ils font l'objet partout en Europe, les Roms espèrent de cette conférence un engagement des Etats à développer des politiques nationales d'intégration. Une proposition que <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName>, qui préside l'Union européenne, doit soutenir mardi.

    Le ministre des affaires étrangères, Bernard Kouchner, devrait proposer aux Vingt-Sept de développer des standards européens d'intégration des Roms par l'emploi, le logement, la santé et l'éducation dans le cadre de plans nationaux.

    Les Roms représentent la plus grande minorité ethnique transnationale de l'Union européenne. Dans la plupart des pays d'Europe de l'Ouest, ils sont quelques centaines de milliers tout au plus. Mais malgré leur petit nombre à l'échelle nationale, ils sont cantonnés dans des bidonvilles dans des situations indignes d'habitat et de santé, autour de Paris, Naples, Rome ou Marseille, etc. "Leur espérance de vie à la naissance est de dix ans inférieure à la moyenne européenne", rapportait <st1:PersonName ProductID="la Commission" w:st="on">la Commission</st1:PersonName> européenne début juillet.

    "STRATÉGIE GLOBALE"

    Souvent empêchés de travailler légalement, comme en France où un régime dérogatoire exclut du marché du travail les Roumains et les Bulgares jusqu'en 2012, ils ont difficilement accès aux soins et rarement aux logements sociaux. La scolarisation est parfois le fruit de longues négociations entre les associations et les municipalités.

     

    http://www.lemonde.fr/europe/article/2008/09/15/vers-une-reponse-europeenne-pour-l-integration-des-roms_1095308_3214.html#ens_id=1095417


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    « Hortefeux veut unifier l'asile en Europe »

     

    Comment offrir aux réfugiés politiques les mêmes garanties d'accueil et la même protection juridique dans tous les pays de l'Union européenne ? Depuis lundi à Paris, la question domine les débats de la conférence «Bâtir une Europe de l'asile», organisée par Brice Hortefeux. Le ministre français de l'Immigration qui doit conclure la réunion aujourd'hui, a en effet invité ses homologues européens à plancher sur le sujet. L'objectif est d'instaurer une procédure d'asile unique en 2012.

    Aux portes de l'Europe, la pression se fait de plus en plus forte. Les experts redoutent que la crise dans le Caucase précipite des milliers de réfugiés sur les routes, tandis que les arrivées d'Irakiens en Grèce et d'Africains sur l'île de Lampedusa, en Italie, redoublent. Or les États européens ont pour l'instant une interprétation très différente de la convention de Genève. <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">La France</st1:PersonName> délivre près de 25 % des statuts de réfugiés en Europe quand <st1:PersonName ProductID="la Grèce" w:st="on">la Grèce</st1:PersonName>, pourtant très sollicitée, renvoie quasi systématiquement ceux qui s'adressent à elle. Du coup, les migrants tentent par tous les moyens de rejoindre les pays les plus protecteurs de l'Union européenne comme <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName>, mais aussi <st1:PersonName ProductID="la Suède" w:st="on">la Suède</st1:PersonName> ou <st1:PersonName ProductID="la Grande-Bretagne" w:st="on">la Grande-Bretagne</st1:PersonName>, et traversent clandestinement les autres.

     

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2008/09/09/01016-20080909ARTFIG00015-hortefeux-veut-unifier-l-asile-en-europe-.php

     


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    Pour obtenir l'abandon du fichier EDVIGE instituant le fichage systématique et généralisé, dès l'âge de 13 ans, par la police des délinquants hypothétiques et des militants syndicaux, politiques, associatifs et religieux !

     

    Lire l'Appel et signer la pétition :

    http://nonaedvige.ras.eu.org/petitions/


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    On connaissait l'immigration clandestine, c'est-à-dire l'entrée irrégulière dans un pays étranger. Voici l'émigration illégale, autrement dit l'interdiction de quitter son propre pays sous peine de sanction pénale.

    Après d'autres pays, l'Algérie s'apprête à adopter une loi punissant de six mois d'emprisonnement ferme toute sortie illégale de son territoire. Un projet de texte réformant le code pénal en ce sens a été approuvé, dimanche 31 août, par le gouvernement et doit l'être par le Parlement cet automne. Il prévoit aussi d'infliger dix années d'incarcération aux personnes aidant les émigrants.

    Pareille mesure vise un phénomène qui a pris une ampleur considérable en Algérie, celui des "harragas" (littéralement, en arabe, "ceux qui brûlent" les frontières), ces jeunes qui risquent leur vie sur des embarcations de fortune pour gagner l'Europe. Au cours de la seule semaine passée, une centaine de ces jeunes, Algériens ou Africains noirs, ont été interpellés sur les côtes algériennes. Depuis deux ans, les plages proches d'Annaba (<?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter ProductID="600 km" w:st="on">600 km</st1:metricconverter> à l'est d'Alger) sont devenues les principales zones d'embarquement vers <st1:PersonName ProductID="la Sardaigne. Les" w:st="on">la Sardaigne. Les</st1:PersonName> autorités font état de 1 500 arrestations en 2007 et de 700 depuis le début de 2008. Mais on ne connaît ni le nombre de ceux qui parviennent à destination, ni, évidemment, celui de ceux qui périssent.

     

    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2008/09/03/en-algerie-les-emigrants-clandestins-seront-passibles-de-prison_1090928_3212.html


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