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    Au cours du premier semestre 2008, les Caisses d'épargne proposeront un "compte d'épargne codéveloppement" (CEC) destiné à recevoir l'épargne d'un travailleur étranger disposant d'une carte de séjour l'autorisant à travailler en France, comme l'a confirmé Charles Milhaud, président du Groupe Caisse d'épargne, lundi 28 janvier, à l'occasion d'un séminaire à Bercy sur les transferts de fonds des migrants vers l'Afrique.

    D'un minimum de 50 euros et d'un maximum de 50 000 euros, ce compte rémunéré ouvre droit à une éxonération fiscale de 25 % des sommes épargnées dans la limite de 20 000 euros, à condition que cette épargne soit investie dans un projet de développement dans le pays d'origine de son titulaire. Il s'agira de la première application d'un décret d'application paru le 22 février 2007.

    Cela fait une dizaine d'années que les pays développés ont découvert l'importance des transferts des fonds des travailleurs immigrés vers leur pays d'origine. Par exemple, on estime que 8 milliards d'euros partent chaque année de France vers les pays d'émigration situés hors Union européenne, un montant comparable à l'aide publique de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> aux pays en développement.

     

    http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/01/29/les-travailleurs-migrants-sont-incites-a-investir-leur-epargne-dans-leur-pays-d-origine_1004943_0.html<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

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    It has been a rollercoaster eighteen months for English for Speakers of Other Languages (ESOL) funding.  And the rollercoaster ride is set to continue with the announcement of a new consultation from the Government. 

    Following the Learning and Skills Council's (LSC) change in funding priorities announced in October 2006, asylum seekers were cut out of ESOL and wider Further Education funding.   The Refugee Council campaigned with a range of allies to call for asylum seekers and refugees to be reinstated.

     

    http://refugeecouncil.typepad.com/poliblog/


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    La communication sur l'accueil et l'intégration des étrangers : l'enjeu local !

     

    Mardi 29 janvier 2008  18h-19h30

    Association des Maires de France

    PARIS 7ème

     

    Comment les villes s'adressent-elles en pratique aux communautés étrangères et d'origine étrangère ?

    Quelle  communication mettre en œuvre à destination de tous les habitants pour favoriser et organiser le vivre ensemble ?

    Rencontre organisée par le SSAE et Communication publique, en collaboration avec l'Association des Maires de France

     

    Merci de confirmer votre présence

    secretariat@communication-publique.fr


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    Comme le précédent, ce numéro est structuré autour d'un dossier et d'articles regroupés en rubriques visant à rendre compte de la diversité et de l'actualité de la sociologie critique.

    Le dossier est consacré au thème : « Identité(s) nationale(s) : le retour des politiques de l'identité ? ». La récente campagne électorale, puis la création d'un ministère associant dans son intitulé immigration et identité nationale témoignent du retour, en France mais aussi ailleurs dans le monde, des politiques publiques conduites au nom des « identités nationales ».

    Pour les auteurs qui ont contribué à ce dossier, l'objectif premier n'est pas de définir ce qu'est notre identité nationale, encore moins ce qu'elle devrait être dans l'idéal. Il est de mettre en lumière, à partir de leurs travaux respectifs, les évolutions qui ont conduit à la situation actuelle.

    En marge de ce dossier, un entretien avec Gérard Noiriel permet de mieux saisir les motivations des historiens qui ont démissionné de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Cité" w:st="on">la Cité</st1:PersonName> nationale de l'histoire de l'immigration à la suite de la décision de créer ce qui deviendra en fin de compte « le ministère de l'Immigration , de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement ». Il met en évidence les pièges posés par les usages politiques de l'histoire.

    Ce numéro 2 reprend par ailleurs les rubriques déjà présentes dans le premier numéro : « la parole au peuple », « la rhétorique réactionnaire aujourd'hui », « la chronique de la gauche de la gauche », « les politiques d'ailleurs ».

     

    http://www.atheles.org/editionsducroquant/revuesavoiragir/revuesavoiragirn2/index.html

     


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    «La mobilisation a pu me conduire à relâcher des gens» Yannick Blanc !

     

    Yannick Blanc, ex-directeur de la police générale de la préfecture de police de Paris, en charge des sans-papiers

     

    Jusqu'au 16 janvier, Yannick Blanc était le directeur de la police générale de la préfecture de police de Paris, en charge notamment des étrangers en situation irrégulière. Ce jour-là, ce haut fonctionnaire a été démis de ses fonctions par décret du président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République. En">la République. En</st1:PersonName> juillet 2006, une polémique avait opposé cet ancien du cabinet de Jean-Pierre Chevènement à Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur. Dans une interview au Monde, Yannick Blanc avait affirmé que «plusieurs milliers» de familles sans papiers seraient «régularisées» dans le cadre de la circulaire du 13 juin. Ce texte, publié par Sarkozy en réponse à la mobilisation de collectifs comme le Réseau éducation sans frontières, ouvrait des possibilités de régularisation exceptionnelle aux étrangers en situation irrégulière, parents au moins d'un enfant scolarisé. Quelques jours plus tard, Sarkozy lui infligeait un cinglant démenti, affirmant que «tous ceux qui parlent de chiffres aujourd'hui parlent de sujets qu'ils ne connaissent pas».

    La préfecture de police de Paris s'était vu fixer, pour 2007, un objectif de 3 680 expulsions, vous n'en avez réalisé «que» 2 800, avez-vous été sanctionné pour ce motif ?

     

    http://www.liberation.fr/actualite/societe/306024.FR.php


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  • « Le Conseil de l'Europe conteste les listes noires de l'ONU et de l'UE »

     

    Depuis deux ans, des tribunaux ont commencé à annuler certaines inscriptions d'entités ou de personnes tenues pour "terroristes" sur les listes noires de l'Union européenne (UE). L'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, basée à Strasbourg, s'en félicite : elle affirme que les listes noires du Conseil de sécurité des Nations unies et de l'UE ne respectent pas les droits fondamentaux, dans une résolution adoptée mercredi 23 janvier. Elle demande que les Etats membres du Conseil de l'Europe utilisent leur influence au sein de l'UE et de l'ONU pour améliorer leurs procédures de sanction, comme c'est le cas lors d'une inscription sur des listes noires. Elle suit ainsi son rapporteur, le Suisse Dick Marty, auteur de deux documents explosifs sur les restitutions extraordinaires et les prisons secrètes de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la CIA">la CIA</st1:PersonName>, pour qui la lutte contre le terrorisme ne doit pas se faire aux dépens des droits de l'homme. Le Conseil de sécurité de l'ONU a inauguré la pratique des "sanctions ciblées" contre des personnes (et non des Etats) en octobre 1999, pour "contrecarrer le régime des talibans en Afghanistan". Le Conseil de l'Union européenne a constitué sa propre liste au lendemain du 11 septembre 2001. Aujourd'hui, la liste de l'ONU vise quelque 370 personnes et 130 entreprises ou organisations, et celle de l'Union 60 personnes physiques ou morales, selon M. Marty.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3214,36-1002621@51-1002726,0.html


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  • La préfecture de Seine-Saint-Denis a levé, mercredi 23 janvier, la réquisition de la salle d'embarquement qui servait depuis le 9 janvier d'extension à la zone d'attente pour personnes en instance (Le Monde du 22 janvier), sur la plate-forme aéroportuaire de Roissy.

    Mardi, il restait 125 demandeurs d'asile en zone d'attente (contre 275 le 7 janvier), dont 23 Russes tchétchènes. "Le 17 janvier, il y a eu une dernière arrivée. Depuis, plus rien", indique Hélène Gacon, de l'Association nationale d'assistance aux frontières pour les étrangers, qui s'interroge sur les actions menées par les autorités. "Les réacheminements auxquels nous avons procédé ont permis d'envoyer un signal aux candidats au départ", explique-t-on au cabinet du ministre de l'immigration, Brice Hortefeux, tout en reconnaissant que des "contacts techniques" à Kiev, en Ukraine (pays de départ), ont sans doute contribué à ce tarissement.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-1002639@51-989381,0.html<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

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  • La commission présidée par Jacques Attali sur la croissance devait proposer, mercredi 23 janvier, à Nicolas Sarkozy d'ouvrir largement les frontières à l'immigration. Le sujet est d'autant plus sensible que, loin d'avoir préparé les esprits à une telle évolution, le président mène, depuis qu'il est élu, la politique inverse. Pourtant, tout indique que la rupture préconisée par la commission Attali est nécessaire, tant le gouvernement, dans ce domaine, fait fausse route.

    Officiellement, la politique de Nicolas Sarkozy et de Brice Hortefeux présente une double caractéristique : d'un côté, on expulse massivement - et avec objectifs chiffrés à la clé - des clandestins. De l'autre, on accueille - voire on régularise - au cas par cas et sans indiquer de chiffres en fonction des besoins de l'économie. C'est le principe de l'immigration choisie, tel que défini par <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France. La">la France. La</st1:PersonName> réalité est plus complexe : nonobstant les discours du gouvernement, environ 200 000 étrangers entrent chaque année en France et environ 100 000 la quittent. Néanmoins, il suffit de voir comment les étrangers, surtout lorsqu'ils ne sont pas blancs, sont accueillis par la police à Roissy pour comprendre qu'ils ne sont pas les bienvenus, y compris lorsqu'ils ont un portefeuille bien garni.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-1002164,0.html


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    Contrairement à une idée reçue, la torture ne sert pas à faire parler mais au contraire à faire taire : d'abord la victime puis l'entourage, la presse, l'opposition... Mais elle n'empêche pas d'écrire. Le docteur Duterte esquisse dans ce livre quelques portraits des nombreuses victimes qu'il a rencontrées, écoutées et aidées depuis 1994. Il révèle la résistance, le courage, l'humanité de ces hommes, femmes et enfants qui ont eu à traverser le pire. Pierre Duterte nous offre le témoignage bouleversant d'un médecin humaniste qui lutte avec détermination et un sens aigu de la justice aux côtés des victimes, trop souvent oubliées et condamnées au silence par des régimes dictatoriaux ou des démocraties qui se renient. Il aide ces hommes et ces femmes à guérir jour après jour de leurs blessures visibles et invisibles. Une leçon de courage pour tous.

    Pierre Duterte, médecin, psychothérapeute et thérapeute familial est né à Tourcoing en 1953. En 1994, il s'engage comme médecin bénévole; puis, en 1995, il devient salarié et enfin médecin directeur d'un centre de soins pour victimes de torture. En 2001, il co-fonde l'association Parcours de Jeunes, puis ouvre en 2002 le centre de soins Parcours d'Exil. En 1994, il est nommé Généraliste d'Or pour son activité professionnelle et ses engagements.


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  • Le ministre de l'Immigration a annoncé la création d'une commission chargée de réfléchir à une modification de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> afin de pouvoir instaurer une politique de quotas, jugée contraire au principe d'égalité par le Conseil Constitutionnel.

    e ministre de l'Immigration, Brice Hortefeux, a annoncé dimanche la création d'un groupe de travail destiné à réfléchir à une modification constitutionnelle permettant d'instaurer une politique de quotas. Il a précisé avoir confié à Pierre Mazeaud, ancien président du Conseil constitutionnel, le soin "d'animer" cette commission.

    Elle sera mise en place fin janvier, et comptera notamment parmi ses membres Jean-Jacques Hyest, sénateur UMP, président de la commission des lois, et Kofi Yamgnane, ancien secrétaire d'Etat à l'Intégration socialiste, a-t-il précisé au Grand Rendez-vous d'Europe1/TV5/Le Parisien.

    Le démographe Hervé Le Bras, coauteur d'un ouvrage avec Jack Lang sur l'immigration, fera aussi partie de l'équipe qui entendra des responsables de tous bords, y compris des personnalités étrangères. Elle devra boucler ses travaux "fin avril".

    Une notion contraire à <st1:PersonName ProductID="la ConstitutionLe" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName>

    <st1:PersonName ProductID="la ConstitutionLe" w:st="on">Le</st1:PersonName> Conseil constitutionnel a déjà jugé la notion même de quotas contraire au principe d'égalité qui concerne aussi bien les Français que les étrangers. L'imposer pourrait donc nécessiter une modification de <st1:PersonName ProductID="la Constitution." w:st="on">la Constitution.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName ProductID="la Constitution." w:st="on"></st1:PersonName>Une politique de quotas consiste à admettre l'entrée d'étrangers en fonction de critères professionnels et de nationalité. "Ces quotas ne sont naturellement pas des sujets simples. C'est pour cela qu'avec l'autorisation du président de <st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> et du Premier ministre, j'ai décidé de constituer un groupe de travail, une commission sur le cadre constitutionnel de la nouvelle politique d'immigration", a dit M. Hortefeux.

    "Cette commission aura à réfléchir sur deux sujets: premièrement sur les quotas pour une immigration réussie et deuxièmement sur la simplification des juridictions", a-t-il précisé

     

    http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=464664


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