• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

     

    « France terre d'asile dépose plainte contre <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="La Poste" w:st="on">La Poste </st1:PersonName>» par Zineb DRYEF - Rue89

     

    <st1:PersonName ProductID="La France" w:st="on">La France</st1:PersonName> est-elle en train de se transformer en vaste partie de chasse aux étrangers? Après la grogne des inspecteurs du travail contre le ministère de l'Immigration et le rapport d'Amnesty s'inquiétant de la régression du droit d'asile en France, c'est au tour de l'association France terre d'asile de sonner le tocsin... du côté de <st1:PersonName ProductID="La Poste." w:st="on">La Poste.</st1:PersonName> Pierre Henri, le directeur général de France terre d'asile, a expliqué à Rue89 le difficile parcours du combattant des demandeurs d'asile aux guichets de <st1:PersonName ProductID="La Poste" w:st="on">La Poste</st1:PersonName>: "Une pratique assez répandue consiste à refuser de remettre leur courrier aux demandeurs d'asile sous prétexte qu'ils ne peuvent prouver la régularité de leur présence sur le territoire national."Certains bureaux de poste rechignent à transmettre le courrierAlors que les demandeurs d'asile disposent de titres de séjour provisoires, accompagnés de leur photo d'identité, certains bureaux de poste rechignent à leur transmettre leur courrier. "Il s'agit d'erreurs humaines. On ne peut pas être parfaits à 100%", se défend <st1:PersonName ProductID="La Poste. De" w:st="on">La Poste. De</st1:PersonName> son côté, France terre d'asile rejette cette explication: "Nous protestons depuis 2005 contre ces pratiques. En vain. <st1:PersonName ProductID="La Poste" w:st="on">La Poste</st1:PersonName> n'a pas à se faire juge de la régularité ou pas, sur le territoire national, de ses clients." Deux ans donc que le bras de fer s'est amorcé entre l'association de défense des droits des demandeurs d'asile et les différents médiateurs de <st1:PersonName ProductID="La Poste. Face" w:st="on">La Poste. Face</st1:PersonName> à la persistance de ces "erreurs humaines", Pierre Henri a décidé d'aller plus loin en saisissant <st1:PersonName ProductID="la Halde. Excès" w:st="on">la Halde. Excès</st1:PersonName> de zèle isolé de certains fonctionnaires ou stigmatisation des étrangers à <st1:PersonName ProductID="La Poste" w:st="on">La Poste</st1:PersonName>? L'embarras à <st1:PersonName ProductID="La Poste" w:st="on">La Poste</st1:PersonName> est mesurable: "Nous sommes un service public de proximité. Nous accueillons toutes les populations, l'identité de <st1:PersonName ProductID="La Poste" w:st="on">La Poste</st1:PersonName>, c'est aussi cela. Nous sommes attachés à cette mission." "Seule l'identité nous intéresse"Le service qui, dans ses campagnes de pub, se targue de "mériter" la confiance de ses clients, a promis d'examiner les différents dossiers et de prendre des dispositions destinées à assurer l'accueil de tous si <st1:PersonName ProductID="la Halde" w:st="on">la Halde</st1:PersonName> venait à confirmer les irrégularités constatées par France terre d'asile.

    Un discours qui arrive un peu tard et que dénoncent les syndicats. En effet, une instruction interne datant de 1996 appelle les employés de <st1:PersonName ProductID="La Poste" w:st="on">La Poste</st1:PersonName> à "la plus grande vigilance" concernant les titres de séjour ou autres récépissés de demande de carte de séjour. Là encore, la réponse de <st1:PersonName ProductID="La Poste" w:st="on">La Poste</st1:PersonName> est gênée: "Il ne s'agit pas pour nous de contrôler la régularité de nos clients sur le territoire français. La seule chose dont nous voulons nous assurer est que le courrier soit remis à la bonne personne. Seule l'identité nous intéresse." La décision de <st1:PersonName ProductID="la Halde" w:st="on">la Halde</st1:PersonName> sera rendue en septembre

     


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    In response to a High Court ruling today that removing asylum seekers to third countries without first considering their claims is incompatible with the European Convention on Human Rights, Donna Covey, Chief Executive of the Refugee Council said:

    http://www.refugeecouncil.org.uk/news/press/2007/july/20070702_b.htm

     


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  • « Le camp de réfugiés, lieu de vie et de survie » par Marc-Antoine Pérouse de Montclos - Institut de recherche pour le développement (IRD) - est enseignant à l'Institut d'études politiques de Paris.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Dans les pays du Sud, les occupants des camps de réfugiés ne sont pas des victimes passives attendant plus ou moins patiemment l'aide que la communauté internationale voudrait bien leur fournir. Ce sont aussi des acteurs économiques, politiques et, plus souvent qu'on ne le croit, militaires.

    L'image du réfugié en haillons, le ventre ballonné, tiraillé par la faim, ne représente heureusement qu'une toute petite partie de la réalité. Dans la plupart des cas, les camps sont en réalité des marchés très actifs, qui bouleversent et dynamisent les économies régionales. Placés sous la protection du HCR (Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés) lorsque les pays d'accueil sont signataires de la convention de Genève de 1951, qui encadre le droit d'asile à travers le monde, ils bénéficient d'une assistance internationale et de services publics dans des environnements où l'Etat est défaillant.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-936801,0.html


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    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Les Espagnols, qui ont le sentiment d'avoir de plus en plus de mal à boucler leurs fins de mois en raison de la hausse du coût de la vie, ont dû être confortés dans leur impression. Selon les statistiques livrées par l'OCDE dans son étude sur les "Perspectives de l'emploi 2007", publiée fin juin, le salaire moyen réel, en Espagne, a baissé de 4 % entre 1995 et 2005.

    Pour tous ceux qui, nombreux dans ce pays où 89 % des foyers sont propriétaires, doivent affronter chaque mois la hausse des taux d'intérêt (les emprunts immobiliers sont à taux variables en Espagne), le constat n'est pas passé inaperçu.

    Il est d'autant plus alarmant que l'Espagne est le seul pays de l'OCDE à constater ce phénomène. Dans l'ensemble de la zone, le salaire moyen a progressé de 1,8 % par an entre 1995 et 2000 et de 0,7 % par an jusqu'à 2005. Les responsables de la politique économique espagnole ont aussitôt expliqué que cette baisse ne traduit pas une réduction du pouvoir d'achat pour les salariés, mais bien plutôt l'entrée massive de nouveaux actifs sur le marché du travail, à des emplois peu qualifiés, et donc peu rémunérés.

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-936746,0.html


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    On n'est jamais mieux servi que par soi-même : depuis octobre 2006, la police aux frontières (PAF), en charge de l'éloignement des étrangers en situation irrégulière, s'est dotée d'un Beech 1900, un bimoteur de 19 places, qu'elle loue à une compagnie privée.

     

    Piloté par des agents de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la PAF" w:st="on">la PAF</st1:PersonName>, cet avion permet d'acheminer les étrangers en instance d'éloignement, du centre de rétention vers l'aéroport de départ, mais également de reconduire des personnes jusqu'en Europe centrale et dans les Balkans.

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-936764,0.html

     


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    L'ancienne présidente de l'association humanitaire Médecins du monde, Françoise Jeanson, déplore la mise en ligne sur l'intranet des ministères de l'intérieur et de la santé, de fiches d'information, jugées peu fiables, concernant l'offre de soins et de traitements disponibles dans les pays d'origine des étrangers malades demandant leur régularisation pour raisons médicales.
    Entretien : Karim El Hadj, Jonathan Parienté

    <o:p> </o:p>

    Voir <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Vidéo" w:st="on">la Vidéo</st1:PersonName> :

    http://www.lemonde.fr/web/video/0,47-0@2-3224,54-931654@51-928941,0.html

     


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    Richard : Qu'est-ce que l'immigration économique ? Sarkozy veut qu'elle représente 50 % de l'immigration en général, soit. Mais quelle est sa part actuellement ?

    Patrick Weil : L'immigration économique, ce sont des types de séjour accordés sur la base d'un contrat de travail, et non sur la base de droits revendiqués, soit à partir d'un lien de famille, soit à partir du statut de réfugié politique. 

    En ce qui concerne la part de l'immigration économique, pour l'année 2005, le nombre de ces titres était de neuf mille sur cent trente-six mille titres délivrés à des immigrés permanents hors Union européenne. Ce qui fait environ 6,6 %. 

    Cela ne veut pas dire que les autres migrants qui obtiennent un titre, par exemple comme conjoint de Français, ne travaillent pas. Une étude menée à la demande du ministère des affaires sociales montre que 70 % des personnes qui entrent au titre de la migration familiale travaillent.

    Il y a aussi une dimension économique de la migration qui vient à d'autres titres que l'accès direct au marché du travail. M. Sarkozy vient de fixer un quota de 50 % à M. Hortefeux. 

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/web/chat/0,46-0@2-3224,55-934026@51-928941,0.html

     


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  • PARIS, 11 juil 2007 (AFP) - "Ce n'est pas la vocation de la compagnie, ni d'un pilote de ramener des gens par la force": comme ce pilote syndiqué, les personnels d'Air France s'inquiètent de plus en plus des expulsions d'étrangers sur leurs avions, pour la sécurité et l'image de marque de la compagnie.
    Mardi, les élus du comité central d'entreprise ont adopté une motion demandant aux actionnaires "de se prononcer pour l'arrêt des expulsions". Les représentants des 16.000 navigants n'ont pas participé à ce vote mais Franck Mikula, coprésident de leur syndicat majoritaire (l'Alliance PNC), fait état d'un "malaise" que semblent confirmer les témoignages recueillis par l'AFP.
    Pilotes et hôtesses indiquent que les reconduites se passent globalement bien lorsque l'expulsé a donné son accord. Mais "lorsqu'une personne est bâillonnée, menottée, pour nous c'est intolérable", affirme Eric Tahon, membre du syndicat (minoritaire) Alter, commandant de bord sur long-courrier.
    "En cas d'évacuation, parfois nécessaire en 90 secondes quand l'avion est rempli de kérosène, il faut que la personne puisse se déplacer toute seule", explique-t-il. C'est pourquoi, soulignent des commandants de bord, beaucoup refusent d'embarquer le clandestin s'il est opposé à son expulsion.
    Le sans-papier ramené de force est placé à l'arrière de la cabine, encadré par deux policiers, mais souvent aucune place n'est laissée libre à proximité, confrontant les passagers à sa résistance, en contradiction avec le slogan d'Air France qui fait "du ciel le plus bel endroit de la terre".
    Sophie, 35 ans, hôtesse, évoque le traumatisme au spectacle d'une Chinoise "qui criait beaucoup", sur un Paris-Pékin: "des policiers l'ont pliée en deux en lui mettant une couverture sur la bouche pour l'empêcher de crier. Elle est tombée dans les pommes".
    "Quand on transporte ce genre de passagers, souvent menottés, beaucoup de gens sont choqués", témoigne aussi une chef de cabine, parlant d'"un problème de plus en plus aigu", alors qu'Air France devrait être sollicité de façon croissante, <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> projetant 25.000 expulsions en 2007, surtout par avion.
    "Moralement, je suis atteint à chaque fois", confie Stéphane Unzue, 30 ans, steward et militant CGT. "Que penser lorsqu'un passager vous affirme qu'on l'amène droit à la mort? Nous ne sommes pas engagés pour cela".
    La mobilisation du Réseau éducation sans frontières, qui incite depuis 2006 les passagers à se solidariser avec ces sans-papiers, a suscité des incidents ces derniers mois, des passagers s'opposant à l'escorte policière.
    Les expulsions "sont exécutées par le ministère de l'Intérieur" et il "n'appartient pas à Air France de remettre en cause de telles décisions prises dans le cadre d'un Etat de droit", a réagi mercredi un porte-parole de la compagnie.
    Les reconduites "créent des problèmes et des contraintes. Mais qu'est-ce qu'on peut faire? On applique l'Etat de droit", déclare pour sa part Geoffroy Bouvet, pilote porte-parole du syndicat AF-ALPA (majoritaire).
    D'autres compagnies européennes, dont British Airways, Iberia et KLM ont indiqué à l'AFP se plier aussi aux demandes des autorités. Lufthansa en revanche "n'accepte pas de reconduits menottés. Cela a un impact très fort sur les passagers", selon un porte-parole.
    Ni <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Police">la Police</st1:PersonName> aux Frontières, ni Air France n'ont souhaité préciser à l'AFP le nombre d'expulsés chaque année via la compagnie.

     

    Reportage sonore :
    http://www.lemonde.fr/web/son/0,54-0@2-3224,63-934972@51-928941,0.html


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    C'est un lieu commun de dire que nous vivons dans un village mondial. On perçoit moins bien que la mondialisation s'effectue par étapes. Nous en sommes à la deuxième étape : l'âge de la mobilité.

    Durant la première étape, avec la libération des flux de capitaux et de biens, les bienfaits de la mondialisation allaient essentiellement au monde développé et à ses principaux partenaires commerciaux, entre autres le Brésil, <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Chine" w:st="on">la Chine</st1:PersonName> et l'Inde. Alors que nous entrons dans le nouvel âge de la mobilité, ce sont les personnes qui seront appelées à franchir les frontières en nombre toujours plus grand. À la recherche d'un emploi et d'une vie meilleure, ces personnes pourront réduire les fortes inégalités qui caractérisent notre époque et accélérer le progrès dans l'ensemble du monde en développement.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    http://www.lefigaro.fr/debats/20070709.FIG000000132_il_faut_reussir_a_faire_des_migrations_un_facteur_de_developpement.html


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />« Les recours contre les mesures d'expulsion d'illégaux engorgent les tribunaux administratifs »

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    Six mois après son entrée en vigueur, la mesure d'éloignement créée par la loi sur l'immigration de 2006 engorge les tribunaux administratifs. Les deux syndicats de magistrats administratifs ont été reçus pour s'en inquiéter, vendredi 6 juillet, par le cabinet du ministre de l'immigration, Brice Hortefeux.

    Depuis le 1er janvier, l'administration peut accompagner son refus d'octroyer un titre de séjour d'une "obligation à quitter le territoire français" (OQTF). "Dans les faits, les préfets assortissent quasi systématiquement leur décision" d'une telle obligation, explique-t-on au ministère. L'expulsé dispose alors d'un mois pour déposer un recours suspensif devant le tribunal administratif (TA).

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-932822@51-928941,0.html

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